9. Alfredo Bacchieri, Fundamentals of unified physics

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Volume 36: Pages 61-76, 2023

Fundamentals of unified physics

Alfredo Bacchieria)

via Ingegneri 2, 26100 Cremona, Italy

This work is based on the following three premises: (1) Equality c=u with u=(–2U)1/2 as the total escape speed (from all the masses in the universe) and U the total gravitational potential; given a value of the universe mass, as shared by many physicists, u tends to c, hence constant on Earth. Moreover, the above equality implies the massiveness of light, which regards the second premise: (2) Structure of light: Longitudinal/sinusoidal particles, photons, moving along rays, having parameters λ (their length) and frequency ν (their number, of the same ray, flowing in a time unit); now, if photons and electron should have, at their impact, opposite direction, a circling electron could fall into its nucleus, hence the third premise. (3) A structure of the electron where its charge is not uniformly distributed, but it can be considered as a point particle fixed on the electron surface, facing the atom nucleus during the electron orbits; the electron charge corresponds to the photons-electron impact point, where photons are absorbed and released. Due to these structures, the photons-electron impacts will force the involved electron to move, with a radial velocity w, toward wider orbits. On these bases, and according to the classical mechanics laws, we found, but not limited to, these results: The measured speed of light, constant on Earth because of the equality #1, turns out to be also invariant whatever the relative motion observer-source (of light) is: In short, during the interaction photons-electron, due to both the electron radial velocity and its Doppler effect, if the photons frequency decreases, then their length will increase (and vice versa) always inducing the invariant c. [The equality c=u has a cosmological reason: If c>u, all the visible masses, following the photons mass moving toward the infinity, would be dispersed from each other; if c < u all masses would collapse, while, for c = u, the photon mass, as well as neutrinos mass, as shown) will ensure an endless balance between dispersion and collapse.] The gravitational redshift and the claimed time dilation depend, like c, on the variation of the total potential. On H atom, the number of the electron circular orbits turns out to be n = 1, 2, 3,...137; the electron orbital speed along its ground-state (g-s) orbit becomes v1=c/137, while the electron charge g-s orbital speed is vo=αc with α being the fine-structure constant. As for the claimed fall of circling electrons into their nucleus due to their supposed photons emission, we found that the circling electrons are emitting the previously absorbed photons only during the spiral path from higher toward lower orbits; this emission avoids their fall. Then we show that the compensation velocity (to restore the resonance source-detector located at different heights) has opposite direction with respect to the one predicted by relativity.

 

Ce travail est basé sur les trois prémisses suivantes: 1) L'égalité c = u avec u = (– 2U)1/2 comme vitesse d'échappement totale (de toutes les masses de l'univers) et U le potentiel gravitationnel total ; Étant donné une valeur de la masse de l'univers, telle que partagée par de nombreux physiciens, u tend vers c, donc constant sur la Terre. De plus, l'égalité ci-dessus implique la massivité de la lumière, qui concerne la 2ème prémisse: 2) Structure de la lumière: particules longitudinales/sinusoïdales, photons, se déplaçant le long de rayons, ayant pour paramètres λ (leur longueur) et fréquence ν (leur nombre, d'un même rayon, circulant dans un temps unité); or, si les photons et l'électron avaient, à leur impact, des directions opposées, un électron tournant pourrait tomber dans son noyau, d'où la 3ème prémisse. 3)- Une structure de l'électron où sa charge n'est pas uniformément répartie, mais qui peut être considérée comme une particule ponctuelle fixée à la surface de l'électron, face au noyau de l'atome pendant l'électron orbites; la charge électronique correspond au point d'impact photons-électrons, où les photons sont absorbés et restitués. Du fait de ces structures, les impacts photons-électron vont forcer l'électron impliqué à se déplacer, avec une vitesse radiale w, vers des orbites plus larges. Sur ces bases, et selon les lois de la mécanique classique, nous avons trouvé, mais non limitativement, ces résultats: la vitesse de la lumière mesurée, constante sur la Terre du fait de l'égalité # 1, s'avère également invariante quelle que soit la vitesse relative mouvement observateur-source (de lumière): En bref, lors de l'interaction photons-électron, (absorption et réémission des photons incidents par l'électron impactant puis en mouvement), si l'observateur et la source se déplacent en sens opposé, la fréquence des photons réémis va toujours décroître, leur longueur va augmenter, induisant un invariant c ; tandis que, si l'observateur et la source s'approchent, la fréquence peut diminuer ou augmenter dépendant à la fois des valeurs de la fréquence incidente et de la vitesse relative observateur-source, tandis que la longueur des photons variera en sens inverse, induisant toujours l'invariance de c. [L'égalité c = u a une raison cosmologique: si c > u, toutes les masses visibles, suivant la masse des photons se déplaçant vers l'infini, seraient dispersées les unes des autres; si c < u toutes les masses s'effondreraient, tandis que, pour c = u, la masse des photons (ainsi que la masse des neutrinos, comme indiqué) assurera un équilibre sans fin entre la dispersion et l'effondrement]. Le décalage vers le rouge gravitationnel et la dilatation temporelle revendiquée dépendent, comme c, de la variation du potentiel total. Sur l'atome H, le nombre d'orbites circulaires des électrons s'avère être n = 1, 2…137; la vitesse orbitale de l'électron le long de son orbite à l'état fondamental (g-s) devient v1 = c/137, tandis que la vitesse orbitale g-s de la charge de l'électron est vo = αc avec α la constante de structure fine. Quant à la prétendue chute des électrons circulaires dans leur noyau en raison de leur supposée émission de photons, nous avons constaté que les électrons circulaires émettent les photons précédemment absorbés uniquement pendant le trajet en spirale des orbites supérieures vers les orbites inférieures; cette émission évite leur chute. Ensuite, nous montrons que la vitesse de compensation (pour restaurer la résonance source-détecteur située à différentes hauteurs) a une direction opposée par rapport à celle prédite par la relativité.

 

Key words: Total Escape Speed; Time Dilation; Harvard Tower Experiment; Photoelectric Effect; Compton Effect.

Received: August 2, 2022; Accepted: December 29, 2022; Published Online: January 25, 2023

 

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