6. Conrad Ranzan, Dynamic steady state universe validated by redshift theory and structural evidence

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Volume 28: Pages 455-473, 2015

Dynamic steady state universe validated by redshift theory and structural evidence

Conrad Ranzana)

DSSU Research, 5145 Second Avenue, Niagara Falls, Ontario L2E 4J8, Canada

 

It is first shown that the Expanding-universe model rests primarily on one pillar; then its grave weakness is revealed. It is argued that since this lone pillar is founded on an incomplete explanation of the cosmic redshift, the superstructure it supports becomes unsustainable, the cosmology model it underpins cannot be a representation of the real Universe. The recently developed cosmic redshift mechanism, based on a nonmass, nonenergy, space medium (which serves as the luminiferous and gravitational substrate), is presented. It is a surprisingly elementary interpretation of cosmic redshift—one that was oddly overlooked in the history of modern astrophysics. According to the new interpretation, called the velocity-differential redshift, wavelength elongation (and wave train elongation) can occur in both expanding and contracting portions of the universe. The immediate implication is that the radical extrapolation that leads standard cosmology to an expanding universe is avoided. In the course of the discussion, a profoundly compelling cosmology unfolds. The model’s predicted cellular structure is compared with observed cosmic-scale structure, revealing a remarkable agreement and thus resolving some of the most intractable anomalies in modern cosmology/astrophysics.

 

Nous montrons d'abord que le modèle de l'univers en expansion repose essentiellement sur un fondement unique, puis nous en révélons le défaut majeur. Nous avançons que ce fondement unique est basé sur une explication incomplète du décalage vers le rouge cosmique, ce qui signifie que la superstructure qu'il soutient devient intenable et que le modèle cosmologique qu'il sous-tend ne peut être représentatif de l'univers réel. Le mécanisme récemment développé du décalage vers le rouge cosmique, basé sur un milieu spatial sans masse et sans énergie (qui sert de substrat lumineux et gravitationnel) est présenté. Il s'agit d'une interprétation d'une simplicité surprenante du décalage vers le rouge cosmique, que l'histoire de l'astrophysique moderne a étrangement ignorée. D'après cette nouvelle interprétation, appelée le décalage vers le rouge de vitesse différentielle, l'allongement de longueur d'onde (et l'allongement de train d'onde) peuvent se produire dans des parties en expansion et en contraction de l'univers. La conséquence immédiate est d'éviter l'extrapolation radicale qui conduit la cosmologie standard à un univers en expansion. La discussion révèle une cosmologie profondément fascinante. La structure cellulaire prédite par le modèle est comparée à la structure observée de l'échelle cosmique, et présente un accord remarquable qui résout certaines des anomalies les plus insurmontables de la cosmologie et de l'astrophysique modernes.

 

Key words: Cosmic Redshift; Photon Propagation; Gravity Cell; Dynamic Aether; Cellular Cosmology; Redshift Distance; Cosmic Structure; Galaxy Clusters; Gravity Domain; Big Bang; DSSU.

 

Received: June 1, 2015; Accepted: September 15, 2015; Published Online: October 10, 2015

 

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